ACTUALITES
Belle réussite pour Sébastien Eustache
Elève de Sensei Adaniya, qui a terminé 2ème en armes supérieures et 3ème en Bo lors de la Coupe de France de Kobudo qui s'est tenue le samedi 29 mars à Paris.
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Bravo Sébastien !
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​Nouveau succès pour le stage de karaté santé.
Près d’une centaine de participants se sont retrouvés ce dimanche 16 février, au gymnase Pierre de Coubertin, pour découvrir la méthode de Connexion Corporelle de Sensei Adaniya, méthode issue de longues décennies de recherches sur les mécanismes corporels générateurs de force et d’énergie.
Lors de l’échauffement, le Président de la Fédération Française de Karaté, Monsieur Verfaillie, accompagné du Président de la Ligue Ile de France, Monsieur Galiana et du Secrétaire Général, Monsieur Marcenat, ont fait la surprise aux stagiaires d’une visite impromptue lesquels se sont sentis très honorés de l’intérêt que les dirigeants de la fédération leur portaient.
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Le stage a ensuite repris son cours. Le sujet du séminaire étant « le karaté bon pour la santé avec la Connexion Corporelle » Sensei Adaniya, accompagné de son épouse Chantal et de plusieurs Assistants : Guy, Vincent, David et Valérie, a pu expliquer comment générer de la puissance tout en préservant son intégrité physique.
Il a démontré qu’à partir d’un équilibre « parfait », le corps, débarrassé de ses mauvaises postures et de ses gestes parasites, pouvait développer une force considérable.
Une partie de la journée a donc été consacrée à la recherche de l’équilibre « parfait » (travail sur le renforcement de l’ancrage au sol, le placement du corps sur son axe de gravité, l’alignement des articulations, etc.) Sensei Adaniya ayant mis au point des techniques et des tests permettant de comprendre et de ressentir cet équilibre absolu, condition sine qua none pour pouvoir ensuite appliquer efficacement les techniques de connexion.
La suite du stage a été axée sur la mise en place des techniques propres à la Connexion et sur leur introduction dans la pratique martiale : explications et démonstration sur les coups de poings (tsuki), blocages, esquives, etc.
Une fois encore, les stagiaires ont manifesté leur surprise et leur enthousiasme en découvrant les effets positifs produits par la méthode en termes de production de force et d’énergie. La découverte de la puissance de l’énergie interne a été une véritable révélation pour la plupart d’entre eux.
L’ambiance était détendue et les échanges très fructueux.
Sensei Adaniya a, à travers ce stage, proposé une autre approche du karaté, une forme efficace dans sa conception martiale et efficace dans la capacité des pratiquants à s’auto-protéger. Eviter les blessures et empêcher l’usure prématurée des articulations tout en restant fort, reste l’objectif premier de Sensei Adaniya.
Deux nouveaux 5ème dan au Nippon Budo Club !
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​​​​Le Nippon Budo Club s’enrichit de deux nouveaux 5ème dan :
Florent Cassiani-Ingoni et Kenji Adaniya
Ils viennent de recevoir leur diplôme des mains de Sensei Adaniya, leur maître depuis 35 ans.
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Tous les deux ont commencé les arts martiaux traditionnels très jeunes, à l’âge de 5 ans. Leurs premiers enseignants étaient Frédéric Guérin, actuellement installé à l’ile Maurice où il enseigne le karaté et le kobudo et le regretté Jean-Jacques Latour, ancien directeur du service de Cyber Malveillance. ​A la création du club en 1987, Frédéric et Jean-Jacques étaient les premiers Assistants de Sensei Adaniya en charge des cours pour les enfants.
Depuis le temps a passé, Florent et Kenji ont poursuivi leur carrière martiale avec beaucoup d’assiduité, ils ont passé leurs différents grades avec brio et sont devenus à leur tour, les Assistants de leur Maître dont ils suivent l’enseignement avec rigueur et persévérance.
Ils représentent avec les autres Assistants œuvrant au sein du Nippon Budo Club, l’avenir du Club.
Nous leur adressons nos sincères félicitations !
Adieu l’ami ! Hommage à Jean-Jacques Latour
Récemment, nous avons eu connaissance de la disparition de Jean-Jacques Latour, Lieutenant-colonel de l’armée de terre et Directeur de l’expertise du dispositif national de cyber-malveillance.
Jean-Jacques n’avait que 60 ans ! Ce décès prématuré nous a tous bouleversés.
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Jean-Jacques était l’un des premiers élèves du Nippon Budo Club. Nous remontons là à la fin des années 80. Il avait une vingtaine d’années et voulait apprendre le karaté d’Okinawa avec un Maître japonais. Je l’ai accueilli avec plaisir. Fougueux et volontaire, il progressa rapidement pour devenir, quelques années plus tard, Assistant chargé des cours de karaté pour les enfants. Il fut vite rejoint dans cette tâche par Frédéric Guérin qui sortait tout juste de son service militaire. Tous les deux prirent leur mission très à cœur et prodiguèrent à nos jeunes karateka un enseignement très tonique dont ces derniers se souviennent encore avec nostalgie.
Jean-Jacques a été des nôtres pendant une bonne dizaine d’années puis sa vie familiale et son engagement professionnel ne lui laissèrent plus le temps de venir s’entraîner au club.
Pendant cette décennie que nous avons partagée, il a participé à tous les évènements que le club organisait. Il nous a aussi accompagné lors d’un voyage au Japon, pour lui un voyage de découverte, que nous avons effectué cette année-là dans des conditions exceptionnelles. Nous en avons gardé des souvenirs enchantés.
Bien sûr, il a été le premier informaticien du club, l’informatique n’ayant déjà pour lui plus aucun secret. De sa passion il a d’ailleurs fait sa profession, pour atteindre un degré d’excellence que personne ne lui a jamais contesté.
Jean-Jacques était un homme rare et tous les « anciens » du club se souviennent de lui avec émotion.
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Repose en paix cher Jean-Jacques, tu es membre du Nippon Budo Club pour l’éternité.
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Sensei Adaniya et sa famille.
Le dimanche 15 décembre, la Fédération Française de Karaté a organisé un stage de karaté santé / connexion corporelle, dirigé par Sensei Adaniya, 9ème dan, à Castelnau-le-Lez.
Ce stage, qui avait pour objectif de faire découvrir le karaté d’Okinawa et sa méthode innovante de connexion corporelle, a remporté un franc succès, dépassant toutes les attentes.
Initialement limité à 50 participants, l’événement a atiré plus de 60 stagiaires, tous impatients d’explorer cette discipline et de comprendre les bienfaits qu’elle peut offrir, non seulement sur le plan physique, mais aussi pour le bien-être général.
Sensei Adaniya, figure emblématique du karaté, a démontré comment il est possible de développer sa force tout en préservant son intégrité physique, en particulier les articulations, en pratiquant son style de karaté.
L’une des grandes révélations du stage a été de montrer qu’il est possible de pratiquer le karaté sans se faire mal. Au contraire, cette pratique peut être utilisée comme un remède pour corriger certains défauts posturaux souvent à l’origine de douleurs et d’inflammations chroniques. Les stagiaires ont ainsi pu constater par eux-mêmes la puissance dégagée par un corps “connecté”, sans avoir à forcer ni risquer de blessures.
Beaucoup ont été surpris par la facilité avec laquelle ils pouvaient générer de
la force tout en restant détendus et en préservant leur énergie.
Accompagné de son épouse Chantal, également experte en la matière, Sensei Adaniya a guidé les participants tout au long de la journée, cherchant à leur faire comprendre comment générer de la force sans fatiguer le corps. Bien que la journée ait été courte pour intégrer tous les fondamentaux de la Connexion Corporelle, les participants sont repartis enthousiasmés, prêts à poursuivre leur apprentissage et à mettre en pratique les principes qu’ils venaient de découvrir.
Un témoignage émouvant de Sandrine Hummel, une des participantes, illustre l’impact de ce stage :
“Un grand merci pour ce partage. C’est une réelle chance d’avoir pu participer à ce stage. J’ai été vraiment très touchée par votre attention à tous les deux. Toutes vos recherches sont d’une importance cruciale et m’ont beaucoup apporté ce dimanche.”
Un deuxième stage est d’ores et déjà programmé pour permettre à tous de continuer à explorer cette méthode révolutionnaire qui allie arts martiaux et bien-être. Les nombreux stagiaires présents ont exprimé leur impatience de revenir pour approfondir cette pratique prometteuse.
